Claude Tésef vous salue

Claude Tésef vous salue

Histoires de la vie (RIRE...)

 

Un homme se disant fatigué de vivre décide de mettre fin à ses jours en se pendant à un manguier. Au moment de le faire, son fils apparait et lui dit : - « Papa, tu auras des funérailles grandioses ! Je viens de gagner 100 millions à la loterie». Le père baisse la tête et dit à son fils : - « Imbécile! Détache-moi vite, on va fêter ma résurrection! »

 

Une Église prend feu et les fidèles crient au secours. Un fou qui passait leur dit: mais c'est vous qui criez toujours ici, le feu du Saint esprit. Le feu est là maintenant, au lieu de chanter "brûle en moi, brule en moi" vous criez au secours... Hypocrite que vous êtes!!!!!!
 
Un pasteur se retrouve dans un taxi, assis à l'arrière entre deux(02) femmes, une laide à gauche et une beauté à droite. Lorsque le taxi vire à droite, il se penche sur la belle et dit " seigneur, ne nous soumets pas à la tentation!"... et lorsque le taxi vire à gauche, il dit: " éééééh DIEU, mais délivre nous du mal" Amen!!!!!!!!!!
 
Un malade va voir un docteur et dit: j'ai des vibrations au niveau du cœur. Ça vibre sérieusement comme un portable. Le docteur lui dit: c'est la mort qui te bippe, prie Dieu que le réseau soit mauvais !!!!!!!
 
Dans une salle de classe l’instituteur demande à ses élèves : « Qu’est ce qu’une voyelle ? »Le petit Toto au fond de la classe répond joyeusement : "C’est la femme d’un voyou."
 
Au cours d’un procès pour divorce, un couple se dispute la garde de leur enfant. La mère dit: - «Votre honneur, cet enfant a été conçu en moi et est sorti de mes entrailles ; alors je mérite sa garde !» Le juge presque convaincu donne la parole au père qui dit : - « Votre honneur, j’ai une question à vous poser : lorsque j’introduis une pièce dans un distributeur de boisson, la cannette qui en sort est à moi ou à la machine ? »
 

A la piscine un enfant regarde curieusement un nageur et demande à sa maman: y a quoi dans caleçon du tonton là? Sa mère lui dit: c'est son porte monnaie. Et l'enfant crie tchiéééé! On dirait que son argent augmente quand il te regarde maman !!!!!!
DU CALME…
J
e me rappelle une petite anecdote : une jeune fille avait pris place dans un compartiment de chemin de fer bondé. Une vieille femme revêche vint s’asseoir à côté d’elle, en la bousculant, portant divers sacs. Le voisin, pris de colère, demanda à la jeune fille pourquoi elle n’avait pas protesté et faire valoir son droit : elle répondit avec un sourire : « Ce n’est pas la peine de se disputer pour si peu, l e voyage ensemble est si court ! » Je descends à la prochaine station.
Voici une réponse qui devrait être une devise écrite en lettre d’or dans nos comportements de tous les jours, et ce, partout : « Ce n’est pas la peine de se disputer pour si peu, le voyage ensemble est si court ! » .
Si chacun pouvait se rendre compte que notre passage ici-bas est de si courte durée, l’assombrir par de futiles disputes serait une perte de temps et d’énergie .
Quelqu’un nous a-t-il blessé le cœur, du calme le voyage est si court !
Quelqu’un nous a-t-il trahit, brimé, ou humilié, du calme le voyage est si court !
Quel que soit ce que l’on nous fera comme peines, rappelons-nous que le voyage ensemble est si court ! Revêtons-nous donc de douceur.
En effet, la douceur est une vertu qui n’a jamais été synonyme de manque de caractère, ni de lâcheté, mais bien plus synonyme de grandeur.
Notre voyage ensemble ici-bas est bien court, et il est sans retour. Personne ne connait la durée de son voyage ! Personne ne sait s’il devra descendre à la prochaine station ! En sus, je ne sais pas si ce que je viens de dire à une personne sera les dernières paroles qu’elle entendra, ou les dernières que je prononcerai !
 
Une vie après la mort
Après plus d'un demi-siècle de mariage, le mari meurt.

Quelque temps plus tard, sa femme meurt aussi et s'en va au ciel...

Elle y retrouve son mari et court vers lui en lui disant :
- Mon chériiiiii, que c'est bon de te revoir !!!

Et lui de répondre :
- Fais pas chier Ginette, le Curé avait été clair : " jusqu'à ce que la mort nous sépare !!!
Tu penses que je vais recommencer le calvaire vécu sur terre avec toi ?"

      C'est du billard

Un couple d'amoureux illégitimes dîne aux chandelles dans l'appartement de la dame.

L'homme demande :
- Ton mari ne risque pas de rentrer ? ça m'embête tu sais, surtout que c'est mon meilleur ami quand même...
-Oh, ne t'inquiète pas, on en a encore pour une bonne heure.

A ce moment là, le téléphone sonne, la femme décroche et on l'entend dire : " Oui mon chéri... non... ah... d'accord... bien sûr, à tout à l'heure. "

Elle revient à table et son amant demande :
- C'était lui ?
- Oui. Ne t'inquiète pas, on en a encore pour une bonne heure, il fait une partie de billard avec toi.
  Un verre..   Un pauvre petit bonhomme est dans un bar depuis une demi-heure. il contemple tristement son verre de bière en soupirant. Tout à coup, un homme barbu en blouson de cuir, entre dans le bar, voit le petit homme, lui donne une grande claque dans le dos en riant et lui boit sa bière. Le petit bonhomme triste se met à pleurer à chaudes larmes.
_ Eh, oh ! lui dit le barbu, désolé. Ce n'était qu'une plaisanterie, je te prends une autre bière, je ne voulais pas te faire pleurer!
- Non , non, laissez ! dit le petit homme. Je pleure parce que cette journée a été la plus terrible de ma vie. Ce matin, ma voiture tombe en panne, j'arrive en retard au travail. Mon patron m'annonce qu'il me renvoie. Quand je rentre à la maison, j'annonce ça à ma femme, qui me quitte en emmenant mes deux enfants. A peine parti, le four, dans lequel ma femme faisait cuir un rôti, explose, et la maison entière brule. En sortant appeler les pompiers, je me fais renverser par une voiture. Le temps d'arriver à l'hôpital, ma maison était détruite... Alors, je viens dans ce bar pour mettre fin à mes jours, et voilà qu'un imbécile qui se croit rigolo, vient me boire mon verre de poison !

 

Voyez combien Dieu est Grand...Vous récoltez ce que vous semez.
Bonne journée

Une dame se trouvait auprès d'un vieil homme sans-abri. L'homme leva la tête lentement et la regarda. Visiblement, cette dame était habituée aux choses raffinées de la vie. Son manteau était neuf.

Elle semblait n'avoir jamais manqué un repas de sa vie. La première pensée de l'homme était qu'elle voulait probablement se moquer de lui, comme tant d'autres l'avaient fait."Laissez-moi tranquille", lança-t-il...

À son grand étonnement, elle resta là. Elle souriait de ses dents droites et éclatantes."Vous avez faim ? demanda-t-elle.

"Non, répondit-il avec sarcasme. Je viens de manger avec le président... Alors
fichez le camp."

La dame sourit encore plus. Soudain l'homme sentit une douce main sous son bras.

"Qu'est-ce que vous faites, madame? Demanda l'homme fâché. J'ai dit : fichez-moi la paix!!!
Juste à ce moment-là un policier arriva."Quelque chose ne va pas, madame?" demanda-t-il.

"Aucun problème ici, officier, répondit la dame. J'essaie simplement d'aider cet homme à se relever. Voulez-vous m'aider ?"
Le policier se gratta la tête. "Ah ! c'est le vieux Jack. Il fait parti des meubles dans le coin depuis quelques années. Qu'est-ce que vous lui voulez ?"

"Voyez-vous la cafeteria là-bas ? demanda-t-elle. Je vais aller lui chercher une bouchée et l'amener un peu au chaud".
"Ça va pas non, la dame ?" Le sans-abri résistait.

"J'veux pas aller là-bas !" Il sentit à ce moment des mains fortes qui
l'empoignèrent sous les bras pour le soulever. Laissez-moi, officier. J'ai rien fait..."
"C'est une bonne offre pour toi, Jack, lui dit le policier. Ne manque pas ça."
Finalement, non sans difficulté, la femme et le policier aidèrent Jack à se rendre à la cafeteria et l'installèrent à une table en retrait dans un coin.
C'était au milieu de la matinée, après l'affluence du petit-déjeuner, la plupart des clients étaient partis, et les prochains pour le déjeuner n'arrivaient pas encore.

Le gérant traversa et se tint près de la table."Qu'est-ce qui se passe ici, officier? demanda t-il. Qu'est-ce que c'est tout ça ? Est-ce que cet homme a des problèmes ?"

"Cette dame a amené cet homme pour lui donner à manger", répondit le policier.
"Ah pas ici ! répondit le gérant fâché. Ce type de gens nuit aux affaires".
Le vieux Jack sourit d’un sourire édenté. "Voyez, madame. Je vous l'avais dit.
Maintenant laissez moi partir. Je vous avais dit que je ne voulais pas venir ici."

La dame se tourna vers le gérant de la cafeteria, lui dit en souriant:"Monsieur, vous connaissez Eddy et Associés, l'institution bancaire sur la rue?'’

"Oh bien sûr que je la connais, répondit le gérant avec impatience. Ils viennent ici pour leurs réunions hebdomadaires dans une de mes salles de banquet.

"Et vous faites de bons revenus en fournissant la nourriture à ces réunions
hebdomadaires?" reprit la dame.
"Mais de quoi vous vous mêlez ?"
« Moi, monsieur, je suis Pénélope Eddy, présidente et PDG de la compagnie."...
La dame sourit encore... "J'ai bien pensé que cela changerait les choses".Elle jeta un coup d'œil au policier qui était occupé à étouffer un rire.

"Aimeriez-vous vous joindre à nous pour une tasse de café et un repas, officier?"
"Non merci, madame, répliqua le policier. Je suis en service."
"Peut-être alors, voulez-vous emporter un café?"
"Oui, madame. Ce serait vraiment bien."Le gérant de la cafeteria se retourna.
"Je vous apporte votre café tout de suite, officier."

Le flic le regarda s'en aller. "Vous l'avez remis à sa place," dit-il."Ce
n'était pas mon intention... Croyez-le ou pas, j'ai mes raisons pour tout cela."

Elle s'assit à la table en face de son invité étonné. Elle le fixa
intensément."Jack, vous souvenez-vous de moi?"
Le vieux Jack la dévisagea de ses vieux yeux encrassés. "Je pense que oui, vous m'avez l'air familier."
"J'ai vieilli un peu peut-être, dit-elle. J'étais encore toute jeune; quand vous travailliez ici. Un jour, je suis entrée par cette porte ; j'avais froid et faim."

"Vous, madame?" demanda le policier. Il ne pouvait croire qu'une dame aussi magnifique ait pu avoir faim.

"Je venais de terminer le collège, commença la dame. Je suis venue en ville pour chercher un emploi, mais je ne trouvais rien. Finalement, je n'avais plus un sou et je me suis fait éjecter de mon appartement... J'ai erré dans les rues pendant des jours. C'était en février, j'avais froid et je mourrais presque de faim.  
J'ai vu cet endroit et j’ai tenté ma chance au cas où je pourrais avoir à
manger."

Jack s'éclaira d'un sourire."Ah là je me souviens, dit-il. Je servais derrière le comptoir. Tu es venue et a demandé si tu pouvais travailler pour une bouchée.
Et je t'ai dit que cela allait à l'encontre du règlement de la compagnie."

"Je sais, continua la femme. À ce moment-là, tu m'as fait le plus gros sandwich au rôti de bœuf que j'aie jamais vu, et tu m'as donné une tasse de café, et tu m'as dit d'aller à la table du coin et d'en profiter.  J'avais peur que cela vous cause des ennuis... Et puis, je vous ai vu regarder alentour, puis déposer dans la caisse le montant de ma nourriture. J'ai su alors que tout irait pour le mieux."
"Puis, vous avez monté votre propre entreprise?" dit le vieux Jack.

"J'ai obtenu un emploi l'après-midi même. J'ai monté les échelons. Par la suite j'ai créé ma propre entreprise, et avec l'aide de Dieu, cela a prospéré..."

Elle ouvrit son sac à main et en sortit une carte de visite."Quand vous aurez fini ici, je veux que vous alliez voir un certain M. Lyons. Il est le directeur des ressources humaines de ma compagnie. Je vais aller lui parler et je suis certaine qu'il vous trouvera quelque chose à faire au bureau’’. Elle sourit. "Je pense qu'il aurait même les fonds à vous prêter pour que vous puissiez vous acheter des vêtements et vous trouvez un endroit où loger jusqu'à ce que vous puissiez vous débrouiller. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, ma porte est toujours ouverte pour vous."

Le vieil homme avait les yeux remplis de larmes."Comment puis-je vous remercier? "demanda t-il.

"Ne me remerciez pas, dit la femme. La gloire va à Dieu. Il m'a conduite à vous."

À l'extérieur de la cafeteria, l'officier et la femme s'arrêtèrent avant de partir chacun de son côté."Merci pour toute votre aide, officier," dit-elle.
"Au contraire, Mme Eddy, dit-il. C’est moi qui vous remercie. J'ai vu un miracle aujourd'hui, quelque chose que je n'oublierai jamais. Et... Et merci pour le café."Excellente année. Et que Dieu vous bénisse toujours.


Et rappelez-vous que lorsque vous tendez la main, on ne sait jamais de quelle façon cela reviendra.

Dieu est si Grand qu'il peut recouvrir tout le Monde avec son Amour ; et Il est si petit qu'il peut se nicher dans votre cœur.

Lorsque Dieu vous amène au bord du précipice, faites Lui pleinement confiance et lâchez prise.

Seulement 1 ou 2 choses se produiront : ou Il vous attrapera si vous tombez, ou Il vous enseignera comment vous envoler !

La puissance d'une phrase ! Dieu va remuer les choses cette année et elles iront en votre faveur.


Dieu ferme les portes qu'aucun humain ne peut ouvrir et Dieu ouvre les portes qu'aucun humain ne peut fermer.

Si tu désires que Dieu t'ouvre des portes... bénis quelqu'un aujourd'hui en lui envoyant ce message. Que ta journée soit bénie et souviens toi d'être une bénédiction....


Sois toujours heureuse et fais confiance à Dieu, Il fait infiniment plus que ce que nous croyons!!!

Sois béni bien - aimé.

 

 

NOUS POUVONS PRIER DIEU PARTOUT!!!

C’était un jour tranquille. Aucune arme, aucun mortier ni bombe n’avait été entendu.

Le jeune soldat sut qu’il était dimanche, le jour saint du Seigneur. Comme il était assis là, il sortit un vieux jeu de cartes et les étala sur le banc.  
Alors survint le Capitaine qui lui dit :   « Pourquoi n’es-tu pas avec le reste du régiment ? « J’ai pensé que je pouvais me mettre de coté et passer un temps avec Le Seigneur » répliqua le jeune soldat.  


Méfiant, le Capitaine dit : « il me semble que tu sois sur le point de jouer aux cartes … », - «  Non mon capitaine, vous savez, depuis le jour où on ne nous permet pas d’avoir ni bible ni aucun livre chrétien dans ce pays j’ai décidé de parler au Seigneur a travers ce jeu de cartes »  

 -  Comment vas-tu faire cela ?  


 -  Vous voyez l’AS, mon capitaine ? Il me rappelle qu’il n’ ya qu’UN SEUL Dieu.
    Le 2  me rappelle qu’il y a 2 parties de la bible, l’ancien et le nouveau testaments.
    Le 3 représente Le Père, Le Fils et Le Saint-Esprit  

    Le 4 représente les 4 évangiles : Matthieu, Marc, Luc et Jean .  
    Le 5 représente les 5 vierges qui furent glorifiées parce qu’elles eurent de l’huile dans leurs lamper et entrèrent dans le festin de l’Agneau.  

    Le 6 représente les 6 jours pendant lesquels Dieu créa le Ciel et la Terre  
    Le 7 représente le jour où Dieu se reposa après avoir terminé toute sa Création  
    Le 8 représente la famille de NOÉ, sa femme, leurs 3 enfants et les épouses de ces derniers  

    Le 9 représente les 9 lépreux qui ne remercièrent jamais Jésus après qu’il les eus guéris. Seul un revint pour rendre gloire.
    Le 10 représente les commandements donnés à Moise par Dieu. Dieu les écrivit de sa propre main sur des tables de pierre.

     Le J représente Satan, un des premiers anges de Dieu. Il fut précipité du ciel et joue maintenant le rôle joker de la perdition éternelle
     La Reine représente Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations de léa terre. C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à la débauche....( ap.17:1-)



     Le Roi représente Jésus-Christ car Il est Le Roi des rois    
    Si j’additionne tous les nombres sur les cartes cela donne 365. Donc une carte pour chaque jour  Il y a 52 cartes pour les 52     Semaines de l’année -      

     Les 4 suites représentent les 4 saisons que Dieu créa : été, hiver, automne, printemps.
 
Maintenant, quand je veux parler au Seigneur, je n’ai qu’à tirer une carte et cela me rappelle la chose pour laquelle je dois être reconnaissant à Dieu. Le capitaine resta là debout, avec les larmes dans les yeux, il dit :« peux-tu me prêter ton jeu de carte, soldat ? » 

S’il vous plait, prenez un moment tout de suite, de prier pour tous ceux qui sont sincères dans le service et le pâturage de Dieu. Priez aussi pour tous les soldats du monde car c’est le plus grand cadeau que vous puissiez leur faire.  

 

 

QUE VOULONS-NOUS REELLEMENT?! 

Un jeune garçon entre dans une pharmacie et dit au pharmacien :
"Bonjour, pouvez vous me donner un préservatif. Ma copine m'a invité à dîner ce soir et je crois qu'elle attend quelque chose de moi". 

Le pharmacien lui donne le préservatif et quand il va sortir, le garçon se retourne et lui dit : " Donnez-moi encore un autre, parce que la soeur de ma copine est très mignonne elle aussi, elle croise toujours les jambes de manière provocante quand elle me voit et je crois qu'elle aussi attend quelque chose de moi."

Le pharmacien lui donne un second préservatif et quand il va sortir le garçon se retourne et lui dit de nouveau :
" Tout compte fait, donnez moi encore un autre parce que la mère de ma copine a de beaux restes et quand elle me voit, elle fait toujours des allusions... Et comme elle m'a invité à dîner, je crois qu'elle attend quelque chose de moi. "

Au dîner, le garçon est assis avec sa copine à sa gauche, la soeur à sa droite et la mère en face de lui.

Quand le père arrive, le garçon baisse la tête et se met à prier:
" Seigneur, je bénis ce dîner, merci pour ce que tu nous donnes... "

Après une minute le garçon est encore en train de prier :
"Merci Seigneur pour ta bonté......"

Dix minutes passent et le garçon prie encore, toujours avec la tête baissée.

Ils se regardent tous très surpris et la copine plus encore que les autres.

Elle se rapproche du garçon et elle lui dit dans l'oreille :
" Je ne savais pas que tu étais aussi croyant "
Et il répond :
" Je ne savais pas que ton père était pharmacien "

 EXCELLENTE JOURNEE

 

 

 PARTAGEZ TOUJOURS LE BONHEUR !  

 
 
 

 Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. 
  
 L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre. 
  
 L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances. 
  
 Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. 
  
 L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. 
  
 De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. 
  
 Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
  
 Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. 
  
 Les jours et les semaines passèrent. 
 Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.. 
 Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. 
  
 Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
 L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. 
  
 Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. 
  
 Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. 
 Or, tout ce qu'il vit, fut un mur ! 
  
 L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
  
 L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. 
  
 Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle. 

 
 

 Epilogue : 
  

 Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. 
  
 La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. 
 
 Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. 
 Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent. 
 

 
 

 L'origine de ce message est inconnue, mais il porte-bonheur à chaque personne qui l'utilise pour partager le bonheur!

 

Un homme dit à une femme:

"Ma chère!
Sans vous tout est sombre et lugubre.
Les nuages s'amoncellent, et le vent chasse la pluie.
Puis vient le chaux soleil;
vous êtes comme un arc-en-ciel pour moi."

La femme demande:
"C'est une demande en mariage ou un bulletin météo?"

 

EVITONS LA COLERE

Alors qu'un homme nettoyait sa nouvelle voiture, son fils de 4 ans ramassa un caillou et fit des grafitis sur le côté de sa voiture.
Dans un accès de colère, sans même regarder ce que représentaient les grafitis, l'homme prit la main de son fils et la frappa plusieurs fois, sans se rendre compte qu'il frappait avec une clé à molette.

A l'hôpital, le garçon perdit tous ses doigts, à cause des multiples fractures dont ils étaient victimes.
Quand le garçon vit son père tout triste, (à cause de ses blessures), il demanda :
"Papa, quand est-ce-que mes doigts vont repousser ?"
l'homme fût très secoué par la question et resta sans voix.
Il repartit vers sa voiture et la cogna plusieurs fois.

Dépité par ses propres actions, il s'assit devant la voiture.
Alors il vit ce que son fils avait gribouillé sur sa voiture et lut : "JE T'AIME PAPA"
Le jour suivant, l'homme se suicida.

La COLÈRE et l'AMOUR n'ont pas de limites.
Choisis toujours le DEUXIÈME pour avoir une belle et mignonne vie.

Dieu a créé les choses pour être utilisées et les êtres humains pour être aimés.
Mais le problème dans le monde d'aujourd'hui est que les êtres humains sont utilisés et les choses sont aimées.

Durant cette année gardons toujours ceci à l'esprit :

Les choses sont créées pour être utilisées,
mais les Hommes et les Femmes sont créés pour être aimés.

 

 L'Horloge du Mensonge

Un homme décédé arrive au Paradis, et dans le bureau de Saint-Pierre, remarque que les murs sont ornés d'une multitude d'horloges.

Intrigué, il lui demande : - Mais à quoi servent toutes ces horloges accrochées contre vos murs ?

Et le saint homme de lui répondre : - Ce sont les horloges du mensonge. Lorsqu'une personne dit un mensonge, son horloge personnelle avance d'une heure.
Voici par exemple celle de Mère Teresa, son horloge est bloquée à midi, donc elle n'a jamais dit de mensonge.
Voici celle de Martin Luther King, son horloge marque 2 heures, donc il a prononcé deux mensonges dans sa vie.

L'homme observe les horloges et demande : - Je ne vois pas celle de PAUL BYA.

St Pierre de répondre : - Elle se trouve dans le bureau de Jésus, il l'utilise comme ventilateur, tellement elle tourne vite...

INTEGRITE
Un  roi  vieillissant  s'est réveillé un jour et s'est rendu compte qu'en mourant  il  n'aura  pas  de mâle (garçon) dans la famille royale pour le remplacer.
Il était le dernier garçon (mâle) dans la famille royale dans une culture où seulement un mâle pourrait succéder au trône - et il vieillissait.
Il a décidé que s'il ne peut pas donner naissance à un mâle il adopterait un  fils qui alors pourrait prendre sa place, mais il a insisté qu'un tel fils adopté soit extraordinaire au sens réel du mot.
Il a donc lancé une compétition ouverte à tous les garçons de son royaume peu  importe  leur  origine.
Dix  garçons ont réussi à cette compétition jusqu'au sommet.
Il  y  avait  peu  pour  séparer  ces garçons quant à l'intelligence, les attributs physiques etc.
Le  roi  leur dit, ' j'ai une dernière épreuve et quiconque arrive à bout de  cette  dernière deviendra mon fils adoptif et héritier à mon trône '.
Alors il  dit, ' Ce royaume dépend uniquement  de l'agriculture.
Donc le roi doit savoir comment cultiver des plantes. Voici une graine de maïs pour chacun de vous.
Emportez-la  à  la maison, plantez-la et élevez-la pour trois semaines.
À la  fin de trois semaines, nous verrons qui a fait le meilleur travail en cultivant la graine.
Cette personne sera mon héritier - apparent. '
Les  garçons  ont pris leurs graines et sont rentrés pressés à la maison.
Ils ont eu chacun un pot à fleur et ont planté la graine dès leur rentrée à la maison..
Il  y  avait  une  énorme  excitation  dans  le  royaume
puisque les gens attendaient  avec  souffle  de  savoir  qui  sera  destiné pour être leur prochain roi.
Dans  une  maison, le garçon et ses parents étaient presque navrés quand,
après  quelques  jours  de soin intense, la graine n'a pas poussé.  Il ne savait pas ce qui n'allait pas avec la sienne.
Il  avait  sélectionné  le  sol  avec  soin,  il  avait appliqué la bonne quantité  et  type d'engrais,
il avait été très obéissant dans l'arrosage avec  les  bons  intervalles,  il  avait  prié sur elle jour et nuit mais toujours sa graine s'était avérée improductive.
Quelques-uns  de  ses amis l'ont recommandé d'aller acheter une graine au marché et la planter.
Après  tout,  '  ils  ont  dit,  '  comment  est-ce que quelqu'un peut différencier  une  graine de maïs d'un autre ' ?
Mais ses parents qui lui avaient  toujours  appris la valeur de l'intégrité lui ont rappelé que si le  roi  voulait  qu'ils plantent juste du maïs,
il aurait demandé qu'ils aillent chercher  leur propre graine.  '
Si tu prends n'importe quelle autre graine différente de celle que le roi t'a donné cela serait malhonnête.
Peut-être nous ne sommes pas destinés pour le trône.
S'il en est ainsi, donc laisse, ne sois pas celui qui va tromper le roi ; lui disent-ils !
Le  jour  J  arrive  et  les  garçons  reviennent  au palais chacun d'eux fièrement exhibant un plant du maïs très fin.
C'était  évident que les autres neuf garçons avaient eu grand succès avec leurs graines.
Le  roi descend le long du rang où sont alignés les garçons passionnés et demande  à chacun d'eux,
c' est ce qui est sorti de la graine que vous ai donnée ' ? Et chaque garçon répondit, ' Oui, votre majesté '. Et le roi fait un signe de la tête et descend le long de la ligne.
Le roi finalement arriva au dernier garçon au haut de la ligne.
Le  garçon était secoué par la peur. Il savait que le roi allait le jeter en prison pour avoir gaspillé sa graine.
Qu'est-ce  que  tu as fais avec la graine que je t'ai donnée' ? Le roi demanda.
Je  l'ai  plantée  et me suis occupé d'elle diligemment votre majesté, mais  hélas elle n'a pas poussé '.
Dit le garçon en larmes quand la foule l'a hué.
Mais  le  roi a levé ses mains et signalé pour silence. Alors il a dit, '
Mon  peuple,  voici  votre  prochain  roi  '.  Les gens ont été confus. '
Pourquoi celui-là ' ? Beaucoup se sont demandés.
Comment est-ce qu'il peut être le bon choix ' ? Le roi a pris sa place sur  son  trône  avec  le  garçon  à  son côté et dit, j'ai donné à ces garçons des graines bouillies. Cette épreuve n'était pas pour cultiver le maïs.
C'était  l'épreuve  de  caractère ;  une  épreuve  d'intégrité.  C'était l'épreuve ultime.
Si  un roi doit avoir une qualité, ce serait celle d'être au-dessus de la malhonnêteté.
Seule ce  garçon a réussi l'épreuve. Une graine bouillie ne peut pas pousser '.

 

Jésus de Narareth ite.  

 Jésus, qui est élève à l'École de Nazareth,
> rentre chez lui avec son bulletin scolaire. Franchement, ce
> n'est pas très bon. Sa mère a déjà vu un mauvais
> bulletin, et elle n'a rien dit, méditant toutes ces
> choses dan s son coeur. Mais aujourd'hui, le plus
> difficile reste à faire : il faut le montrer à Joseph.
>
> Expéditeur : École Siméon de Nazareth
> Destinataires : Joseph et Marie David
> Objet : Bulletin de Jésus
>
> Mathématiques : ne sait quasiment rien faire, à part
> multiplier les pains et les poissons.
>
> Sens de l'addition : n'est pas acquis ; affirme que
> son Père et lui ne font qu'un.
>
> Écriture : n'a jamais ses cahiers et ses crayons ; est
> obligé d'écrire sur le sable.
>
> Géographie : n'a aucun sens de l'orientation ;
> affirme qu'il n'y a qu'un chemin et
qu'il
> conduit chez son Père.
>
> Chimie : ne fait pas les exercices demandés ; dès
> qu'on a le dos tourné, transforme l'eau en vin
> pour faire rigoler ses camarades.
>
> Éducation physique : au lieu d'apprendre à nager
> comme tout le monde, marche sur l'eau.
>
> Expression orale : grosses difficultés à parler
> clairement ; s'exprime en paraboles.
>
> Ordre : a perdu toutes ses affaires à l'école et
> déclare, sans honte, qu'il n'a même pas une
> pierre comme oreiller.
>
> Conduite : fâcheuse tendance à fréquenter les
> étrangers, les pauvres, les galeux et même les
> prostituées.
>
> Joseph se dit vraiment que ça ne peut pas durer, qu'il
> doit prendre des mesures sévères :
>
> « Eh bien, Jésus, puisque c'est comme ça, tu peux
> faire une croix sur tes vacances de
Pâques !... » 

(Reçu de Lili AMOUOU) Yaoundé-Cameroun
 

Les vieux

Deux vieux messieurs d'une maison de retraite s'assoient sur un banc près d'un arbre.
Ils restent là sans rien dire pendant un moment, puis le premier dit:
- Dis-donc, j'ai 83 ans maintenant et je suis perclus de douleurs. Je sais que tu as à peu près mon âge. Alors, comment est-ce que tu te sens toi?
- Moi, dit l'autre, je me sens comme un bébé qui vient de naître.
- Vraiment!? Comme un nouveau-né?
- Ouais. Pas de cheveux, aucune dent, et je pense même que je viens de mouiller mes sous-vêtemen
ts

 

 

Etrangers

Un Allemand qui visite Paris s'arrête à coté de deux types qui
attendent un bus.

- « Entschuldigung, bitte, sprechen Sie Deutsch ? » demande-t-il.

Les deux Français le regardent en silence.
- « Spreekt u misschien Nederlands ? »

Les deux Français ne bougent pas...
L'Allemand essaie alors : « Sorry, do you speak English ? »

Les deux autres continuent à le regarder.
- «Parlare Italiano ? »

Pas de réponse.
- «Habla usted Espanol ? »
Toujours rien.


L'Allemand hoche alors la tête d'un air dégouté et s'en va.
Le premier Français dit alors à l'autre : « Tu ne crois pas qu'on devrait quand même apprendre une langue étrangère ? »
«Pourquoi ? », répond l'autre «Ce type en connaissait cinq et ça ne lui a servi à rien

 

DU RIRE POUR LA PAUSE

Un couple de parisiens décide de
partir en week-end à

la plage et de descendre au même hôtel d'il y a 20

ans, lors de leur lune de miel..



Mais, au dernier moment, à cause d'un problème au

travail, la femme ne peut pas prendre son jeudi.



Il est donc décidé que le mari prendrait l'avion le

jeudi, et sa femme le lendemain. 



L'homme arrive comme prévu et après avoir loué la

chambre d'hôtel, il se rend compte que dans la

chambre, il y a un ordinateur avec connexion Internet.

Il décide alors d'envoyer un courrier à sa femme,

mais il se trompe en écrivant l'adresse.  C'est ainsi

que:



A Perpignan, une veuve qui vient de rentrer des

funérailles de son mari mort d'une crise cardiaque

reçoit l'email. La veuve consulte sa boîte aux lettres

électronique pour voir s'il n'y a pas de messages de

la famille ou des amis... C'est ainsi qu'à la lecture du

premier d'entre eux, elle s'évanouit...  Son fils entre

dans la chambre et trouve Sur l'écran, on peut lire le

message suivant : 



« A mon épouse bien-aimée, Je suis bien arrivé. Tu

seras certainement surprise de recevoir de mes

nouvelles maintenant et de cette manière.  Ici, ils

ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à

ceux que tu aimes.  Je viens d'arriver et j'ai vérifié

que tout était prêt pour ton arrivée, demain vendredi.

J'ai hâte de te revoir. J'espère que ton voyage se

passera aussi bien que s'est passé le mien. P.S..: Il

n'est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de

vêtements : il fait une chaleur d'enfer ici ! »





Si tu ris alors fait suivre le message pour que

d'autres en profite.  Il est bien de rire au moins une

fois dans la journée!!!!

(Reçu de Lili AMOUGOU) Yaoundé-Cameroun

 


 


Principe de base du parachutisme :
Quand tu fais de la chûte libre, tant que tu vois les vaches comme des fourmis, il n?y a pas de danger
Quand tu commences à voir les vaches comme des vaches, il est temps d?ouvrir ton parachûte...
Et quand tu vois les fourmis comme des vaches... Il est trop tard !

 


Nous  vivons  dans  une société qui est obsédée par le succès et beaucoup cherchent  le  succès à  n'importe  quel  prix.  Ils  disent que la fin justifie les moyens, c'est la tragédie de la vie.
Vous  voyez, l'échec est souvent une invitation à Dieu pour montrer qu'il est  Tout Puissant  et  n'a    pas    besoin   d'aide   pour   nous élever ou nous bénir.
Vous  savez,  quelquefois  Dieu  cherche  des  gens  qui auront confiance complètement  en  lui  peu importe qu'il puisse leur montrer que le monde n'est ni par puissance ou ni par pouvoir mais par esprit.
Dieu décrète l'échec quelquefois.
Mais  beaucoup  cherche  à  contourner  l'échec  divinement  décrété  en recourant aux moyens douteux.
Quand  un  fonctionnaire  construit  une grande maison et envoie ses cinq enfants  dans  les  écoles chères pour lesquelles il n'a pas assez de revenu, par le recours à des moyens illicites p
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